Jake Fiarley signe son 2ème album sous le pseudo de Fairmont et manque parfois d'amplitude et de fureur.
On remarque depuis l'album de James Holden que le long format, sur ce label, est une marque jamais répétitif et à 100% pour les clubbers. Ce producteur Allemand fait partie de ceux-là, cherchant la multiplicité d'influence. Mais à force de marquer la différence, ça peux donner des mauvais traçage et un manque de repère. Le pseudo Fairmont s'impose par son côté plus pop, voir "Trancey" alors que son vrai nom (Jake Fairley) sonne beaucoup plus minimal. Pourtant, certains morceaux porte en eux un douteux mauvais goût new-wave 80's (I need medicine) et rend l'album trop passeiste. Le folk-hop de "Calm before the storm" ne vas jamais droit au but et le morceau qui ouvre l'album "Fade & Saturate" enerve par le côté froid de la voix.
Déçu, mais pas complètement, grâce au "Flight of the albatross" qui tire son psychédélisme vers un after des plus étrange ; "1995" pour son influence Boards Of Canada et "Mobula" pour sa ligne droite vers une Techno piqué à la Transe XXIe siècle.
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