Techno Minimale d'une vénéneuse beautée !!
La préparation de l'album fut longue (2 ans) et éprouvante mais le résultat est là. Artiste venant de Seattle, ville ou il a commencé à faire de la musique dans un groupe de Punk (en tant que batteur) durant son adolescence, il découvra la musique electronique un peu plus tard. Steven Ford (de son vrai nom) pond chez lui, tel un vrai défricheur de son binaire, un album sous le pseudo de Bobby Karate (2003) influencé par le label Mille Plateaux et un certains Dub Minimal. C'est deux ans plus tard qu'in s'interessent à des morceaux plus "Dancefloor" via des labels comme Orac, Philpot...
Déjà une patte singulière se propager dans la démarche de l'auteur : jouer de l'hypnotisme de la "Dance-Music" pour l'ammener vers des territoires spacieux, ardus et riches. Après donc son 1er album "Silver Cities" en 2004 sur Orac, retour sur le devant de la scène avec son 2ème opus, et son plus réussie. Il y a une certaine étrangeté mélangé à une subtilités très charnelle. Pourtant , tout n'est pas rose dans ses morceaux : trivialité des basses ; mélodies angoissantes noyé dans un bain de rhtymiques lourdes et pesantes ; des voix très pâles ; des "drones" métallique...mais quelles recherches des textures, en mouvantes perpetuelles. Un producteur qui a son importance aujourd'hui pour un disque hanté, idéal pour After de chéper.
La préparation de l'album fut longue (2 ans) et éprouvante mais le résultat est là. Artiste venant de Seattle, ville ou il a commencé à faire de la musique dans un groupe de Punk (en tant que batteur) durant son adolescence, il découvra la musique electronique un peu plus tard. Steven Ford (de son vrai nom) pond chez lui, tel un vrai défricheur de son binaire, un album sous le pseudo de Bobby Karate (2003) influencé par le label Mille Plateaux et un certains Dub Minimal. C'est deux ans plus tard qu'in s'interessent à des morceaux plus "Dancefloor" via des labels comme Orac, Philpot...
Déjà une patte singulière se propager dans la démarche de l'auteur : jouer de l'hypnotisme de la "Dance-Music" pour l'ammener vers des territoires spacieux, ardus et riches. Après donc son 1er album "Silver Cities" en 2004 sur Orac, retour sur le devant de la scène avec son 2ème opus, et son plus réussie. Il y a une certaine étrangeté mélangé à une subtilités très charnelle. Pourtant , tout n'est pas rose dans ses morceaux : trivialité des basses ; mélodies angoissantes noyé dans un bain de rhtymiques lourdes et pesantes ; des voix très pâles ; des "drones" métallique...mais quelles recherches des textures, en mouvantes perpetuelles. Un producteur qui a son importance aujourd'hui pour un disque hanté, idéal pour After de chéper.
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