Y'aurai t-il un nouvel élan du côté de l'Allemagne en 2007 ? A en voir les sorties récentes des albums de Stephan Bodzin, Robert Babicz ou Dominik Eulberg par exemple, il y a une complémentarité non-ascétique pour réaliser une musique dancefloor capable de belles prouesses techniques et efficaces.
Chez l'AllemandPhilip Sollmann (Aka Efdemin) on est içi un peu dans le cercle d'une musique electronique élegiaque mais n'oubliant jamais sa carapace de faire dancer. Un premier opus d'une grande maitrise et épuré avec juste ce qu'il faut d'une Techno-Minimale, futuriste, prenante dans ses variations et ses mélodies. Très funky et marqué par les nappes synthétiques de la scène de Detroit, et aussi par la pureté des sons emprunt à la jeune scène Allemande. On souffle dans une chaleur moite et sexy (Lohn & Brot) et le reste et aussi bon.
Une fois de plus, après le recueil de poésies d'After de Pantha Du Prince, le label Dial montre sa capacité à marcher comme Italic records au tout début : A la recherche de la mélancholie et du romantisme.
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