- L'attente est toujours aussi forete, avec son lot de surprise et de gaieté, avec ou sans pluie. Avec 22000 personnes en 3 jours pour cette édition 2007, le festival de la RdR met souvent d'accord les passionnés de musique et les simples curieux sans oeuillères. Trois lieux pour cet évènement :
- Le Palais du Grand-Large
- La plage du bon-secours
- Le fort St-Père
Retour au fort St-Père. Elvis Perkins raté. Dommage son album est très profond, sous une folk-pop bien calé. Fin du concert et surprise de dernière minute. La pluie qui arrive en trombe. Plein de panchos rouge partout, drole de moment. Je décide pour m'abriter d'aller à la conférence de presse de Elvis Perkins. Peu de questions des journalistes (car background de Elvis assez fragile) mais on apprends qu'il ne sortira pas d'autre album. C'est ce que tu dit, mais quand tu en auras gros sur la patate, tu voudras le clamer sur support physique !! S'en suit ensuite avec Herman Dune, qui à résussi tout juste à mettre du soleil dans nos coeurs. Une folk-pop americana simple et efficace avec un lot de tube à siffloter n'importe quand. Dans un lieu intimiste ça aurait donner beacoup mieux. En tout cas, la présence de la barbe était assez suggéré. Reprise de la pluie, on fait du skate sur la boue et je me dit que les bottes ça va etre "hype" cette année ici ? Tout juste, avec dans le public une collection flashy de bottes, de la plus "Natures et traditions" aux classiques du genre. Et quand on parle de "hype" y'a forcement Justice qui va avec. Conférence de presse classique et assez courte, jusqu'à que je mette mon grains de sel...et embrouille totale sur les questions...enfin bref passons.
The National est en train de jouer en fond. J'arrive pour le dernier morceau, mais je m'y attarde pas...comme d'ailleurs en 2005, ou ils ont fini le premier jour. C'est signe que j'ai rien à signaler sur ce groupe. Art Brut arriva ensuite et tout de suite la morosité commence à se dissiper. Concert scintillant, le chanteur mi-dandy se montre dans un jour vraiment fou. Des interludes drôles avec son accent de vrai English Boy racontant ses déboites sentimentaux fond rire. Tout comme The Go Team, qui ont présenté des extraits de leurs nouvel album (la chronique va arriver bientôt, l'album sort le 10 septembre)...d'ailleurs elle fesait trop effet pub mercantile la chanteuse black avec ses "Brand new in septembre" à chaque nouveau morceaux mais bon, ça n'a pas enlevé la force du groupe sur scène : une rafale de bonne humeur entre indie-pop ; funk ; hip-hop old-school et bien dosé sur scène. Un vrai sport de combat maitrisé pour finir sur un "Ladyflash" grandiose. On me dit que sa ressemble à du Primal Scream en plus funk, c'est pas faux ! Une exitation grandissait au fort St-Père. La venue de Justice était sur beaucoup de langue ce jour-là. Le live vs-t-il tenir la force du groupe ? Eh bien oui, en vérité. Gros show avec un son fort, so lot d'effet bien ammené, un bon sens esthétique (croix au milieu, lumières fortes, emplis Marshall de chaque coté). Et il fallait vraiment ça, pour oublier la fraicheur du temps. Donc grand moment, pour finir HS...et bien dormir après. Sans problème, le camping est d'un calme dingue. Bien élevé les "poppeux", ça fait du bien, ça change des casses-couilles de sound-system hard-tech...mon boulet oui !!!
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