Copyright 2007 Fred Villemin (Froggy's Delight)
Petit tour dans les intramuros de St-Malo, pour voir qu'il y a autant de touristes chaque année à l'appel du large (surtout le large du consommable). Magnifique temps d'été (oui...j'ai dit été ?) pour écouter le nouveaux projet de Sebastien Shuller (dit choux-fleur !!) en formation piano-cymbales-laptop, à l'Auditorium. L'impression découter un minable clone de Thom Yorke me saute à l'esprit. Sept minutes de performance et clac...son MAC plante! Arret de 5 minutes, les gens s'agite et décide (la plupart) de décliner l'endroit. Je fait un effort. Un morceau...et puis s'en vont!! Fichtre raté Patrick Watson & Windmill. Hop la navette, pas envie de rater Fugiya & Miyagi...pourtant, c'est ce que j'ai fait du fait d'un sacré ralentissement à l'entrée du fort...et de l'apéro du camping avec le crew du "Reservoir" et deux jeunes et très charmantes nanas, venant de Genève (Suisse). Après une exellente discussion avec des anecdotes assez croustillantes sur la mode des "Baby-Rockers=Be Pathetic", nous sommes parties voir le groupe 120 Days. La Dark space-disco et la New-Wave était de rigueur mais un peu longuet. Sur scène, c'est assez statique, le chanteur donne une impression de vide. C'est au tour de The Bernard Lakes. Pas tellement concentré, mais leur rock un peu lyrique charme assez le public. Après quelques interviews en total "Gonzo" style, avec Damien, amateur des cultures alternatives (franchement, tu as géré boy avec les Anglaises), le gros morceau est arrivé. The Smashing Pumpkins. Mouais...ma galette saucisse-fromage était bien meilleur. Leurs déluge heavy prog-rock truc machins énervés sacrement les oreilles. Et j'étais pas au bout de mes souçis avec un final d'un morceau de plus de 25 minutes insupportable, haché niveau sons. Vu du stand label (C'est-à-dire à l'opposé de la scène) c'était pénible, mais prévisible au dire d'un des membres du label folk-pop de Tours Another Records. Du blockbuster réduit à du crottin de cheval. On fait office pour la dance avec The New Young Pony Club et CSS.TNYPC claquait sec, mixture funky avec des élements House et popynesque tournait mieux que sur disque. CSS balançait un gros "borderline" , plaisant et avec facilité.Esprit totalement naif (les ballons sur la scène) et enfantin. J'ai pas trop aimer l'album, et la performance m'a laissé...sans saveur. Le reste était un déluge de n'importe quoi au camping jusqu'à 10h !!! Du gros Aftershow quoi !!!
Petit tour dans les intramuros de St-Malo, pour voir qu'il y a autant de touristes chaque année à l'appel du large (surtout le large du consommable). Magnifique temps d'été (oui...j'ai dit été ?) pour écouter le nouveaux projet de Sebastien Shuller (dit choux-fleur !!) en formation piano-cymbales-laptop, à l'Auditorium. L'impression découter un minable clone de Thom Yorke me saute à l'esprit. Sept minutes de performance et clac...son MAC plante! Arret de 5 minutes, les gens s'agite et décide (la plupart) de décliner l'endroit. Je fait un effort. Un morceau...et puis s'en vont!! Fichtre raté Patrick Watson & Windmill. Hop la navette, pas envie de rater Fugiya & Miyagi...pourtant, c'est ce que j'ai fait du fait d'un sacré ralentissement à l'entrée du fort...et de l'apéro du camping avec le crew du "Reservoir" et deux jeunes et très charmantes nanas, venant de Genève (Suisse). Après une exellente discussion avec des anecdotes assez croustillantes sur la mode des "Baby-Rockers=Be Pathetic", nous sommes parties voir le groupe 120 Days. La Dark space-disco et la New-Wave était de rigueur mais un peu longuet. Sur scène, c'est assez statique, le chanteur donne une impression de vide. C'est au tour de The Bernard Lakes. Pas tellement concentré, mais leur rock un peu lyrique charme assez le public. Après quelques interviews en total "Gonzo" style, avec Damien, amateur des cultures alternatives (franchement, tu as géré boy avec les Anglaises), le gros morceau est arrivé. The Smashing Pumpkins. Mouais...ma galette saucisse-fromage était bien meilleur. Leurs déluge heavy prog-rock truc machins énervés sacrement les oreilles. Et j'étais pas au bout de mes souçis avec un final d'un morceau de plus de 25 minutes insupportable, haché niveau sons. Vu du stand label (C'est-à-dire à l'opposé de la scène) c'était pénible, mais prévisible au dire d'un des membres du label folk-pop de Tours Another Records. Du blockbuster réduit à du crottin de cheval. On fait office pour la dance avec The New Young Pony Club et CSS.TNYPC claquait sec, mixture funky avec des élements House et popynesque tournait mieux que sur disque. CSS balançait un gros "borderline" , plaisant et avec facilité.Esprit totalement naif (les ballons sur la scène) et enfantin. J'ai pas trop aimer l'album, et la performance m'a laissé...sans saveur. Le reste était un déluge de n'importe quoi au camping jusqu'à 10h !!! Du gros Aftershow quoi !!!
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